Avoir la qualité de demandeur

Pour contester une filiation, encore faut-il avoir la qualité requise imposée par la loi. Alors, cette qualité varie selon les cas des figures :
• Si la filiation est établie naturellement par les comportements des parents et enfants et qu’il soient vus comme tel par la société, la filiation peut être contestée par le père, la mère, l’enfant s’il a 18 ans, ou même les prétendus parents de l’enfant. C’est également le cas, si la filiation a été établie par acte de naissance ou par acte de reconnaissance
• Si la filiation est par contre établie par acte de notoriété, toute personne qui présente un intérêt légitime à agir, peut contester la filiation.
• Il est également important de signaler que le ministère public de la justice peut aussi contester une filiation, en cas de fraude à la loi.

Agir dans le délai légal

On ne peut en aucun contester la filiation à tous moment et pendant une durée indéterminée. Il faut respecter les conditions de délai imposées par la loi. Si la filiation est établie par possession d’état, c’est-à-dire par acte de reconnaissance, par acte de naissance ou par constatation de fait, l’action en contestation de filiation est de 5 ans à partir de la date de la cessation de la possession d’état.
Par contre, si la filiation est par contre établie par acte de notoriété, l’action est prescrite dans les 10 ans à compter de la délivrance de l’acte. Il faudrait donc agir dans le cadre de ce délai légal.

Suivre les procédures

Pour contester une filiation, il ne suffit pas de le dire verbalement, il faut respecter les démarches administratives. Dans ce cas, il faut alors rédiger une requête et la déposer auprès du greffe du tribunal de grande instance du lieu de son résidence. Il faut aussi faire appel au service d’un avocat, car son présence est requise par la loi. Si l’enfant est mineur, il devra aussi être accompagné d’un avocat ad-hoc.
Pour appuyer la requête, il faut aussi apporter des preuves. Si c’est la mère qui conteste la filiation, elle devrait prouver devant le juge, qu’elle n’a pas accouché de l’enfant dont elle conteste la filiation. Si c’est le père, il devrait prouver qu’il n’est pas le père biologique de l’enfant. Les preuves peuvent dans ce cas se faire par tous moyens, témoignages, certificat médical ou même lettre…

Bien s’organiser

Il n’est pas toujours facile de s’organiser si on reçoit du monde chez soi. Parmi ces invités, il y aura toujours quelqu’un qui vous critiquera, par exemple l’ex de votre conjoint, mais ce n’est pas une raison de baisser les bras. Fixez une date et prévenez les concernés un mois à l’avance. Si un proche ne peut pas se libérer, aussi important qu’il puisse être pour cette famille, n’annulez pas la fête et ne reportez pas la date. Comme il n’y a pas que vos invités, car il va y avoir aussi ceux de votre partenaire, il faudra partager les tâches de manière équitable et ça devrait être aussi la même chose pour les sacrifices.

Mettre les problèmes de côté

Pour ces fêtes, vous devez mettre les différends de côté, surtout ceux que vous avez votre ex-partenaire. Il faudra trouver une entente avec le père ou la mère de vos enfants s’il ou elle ne veut pas venir chez vous. Si l’année dernière les enfants ont passé les fêtes avec lui, cette année ce sera avec vous et si vous avez retenu les enfants l’année dernière, il faudra les laisser partir rejoindre son père ou sa mère cette année. N’attendez pas qu’il fasse le premier pas, car comme vous êtes déjà séparés, il ne devra plus avoir de sous-entendus donc si votre actuel partenaire vous donne son feu vert à inviter le père ou la mère de votre enfant, faites-le. Si vous avez encore du mal à communiquer, écrivez-lui un mail ou un SMS. À lui devoir s’il ou elle veut venir. Les enfants ne doivent pas se trouver entre vos conflits personnels.

La communication avant tout

Cela semble être un conseil vraiment cliché, mais c’est la base d’un couple qui marche. Il n’y a pas de recette miracle. Tout repose sur votre façon de communiquer. Les mots doux et les compliments sont les ingrédients d’une vie de couple qui dure. À travers vos mots, vous faites ressentir à votre partenaire qu’il ou elle est toujours important(e) dans votre vie.
Cela ne veut cependant pas dire que la vie de couple est exempte de conflit. Au contraire, les disputes sont même leur lot quotidien. Mais pour les désamorcer, il n’y a rien de mieux que de se parler.

La routine à éviter

C’est l’ennemie numéro un de la vie de couple. Au début, vous avez des papillons dans le ventre à chaque fois que vous passez un moment avec votre amoureux (se). Mais au fil du temps, vous vous enroulez dans une routine qui vous fait ressembler à un vieux couple. Si la routine s’installe, vous donnez déjà une ouverture à la séparation.
Pour l’éviter, multipliez les moments de romantisme dans votre couple. Surprenez votre partenaire avec de petits gestes. Cela permet d’entretenir la flamme. Pimentez votre vie de couple avec des jeux coquins et des sorties surprises. Sachez que le sexe fait également partie des ingrédients qui font durer un couple. Son absence peut amener votre couple à la dérive.

De quoi vos enfants ont-ils besoin ?

Est-ce que vous pensez que vos enfants ont besoin des gadgets dernier cri, du smartphone le plus coûteux, des vêtements à la mode ? Ces choses ne sont pas mauvaises en soi mais ce ne sont pas ce dont vos enfants ont surtout besoin. Rappelez-vous que les choses les plus importantes dans la vie de vos enfants ne sont pas des choses. C’est de vous dont ils ont le plus besoin, de votre amour, de votre attention, de votre écoute attentive, de votre présence, de vos conseils. Bien que certains enfants donnent l’impression de ne pas être attachés à leurs parents, au fond d’eux, ils sont heureux lorsque ceux-ci s’intéressent vraiment à eux.

Que faire au quotidien ?

C’est tous les jours que vous devez montrer à vos enfants que vous tenez à eux. Si vous ne les écoutez pas ou si vous ne passez pas du temps avec eux, ils vont en conclure qu’ils sont des boulets pour vous. Aussi, autant que possible, chaque jour, soyez à leurs côtés. Décidez de prendre au moins un repas par jour en famille. Réservez quelques soirées à jouer, à parler ou à traîner avec eux. Profitez de chaque occasion pour leur dire que vous les aimez, serrez-les dans vos bras, ayez des gestes d’affection envers eux. Si votre priorité, ce sont vos enfants, alors, c’est certain qu’ils seront heureux.